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By Nick PERRY Nairobi (AFP) – “Le plastique a encore de la valeur”, lance Nzambi Matee en montrant des montagnes de bidons d’huile, bassines, pots de yaourts et autres déchets qui, dans son usine de Nairobi, au Kenya, sont broyés en petits flocons colorés. Selon elle, “le plastique est un matériau incompris.” Cette ingénieure et inventrice kényane de 30 ans sait de quoi elle parle : sa start-up recycle des tonnes de plastiques, voués à engorger les décharges de la capitale, en briques éco-responsablesutilisées dans la construction, et qui sont plus solides, plus légères et moins chères que le …